Baromètre Alan x Harris Interactive - édition 3
Evolution du bien-être mental au travail et décryptage des aspirations des salariés et managers par secteur
Dans un groupe constitué de trois entreprises différentes, il est primordial, pour le service RH, de développer une culture commune forte et des décisions collégiales. Le service RH, le CSE et la direction œuvrent ensemble pour améliorer le quotidien des salariés. De concert, ils ont ainsi choisi Alan comme nouveau partenaire santé. Charlotte Bergem, DRH du groupe en région, explique le rôle primordial du CSE pour améliorer le quotidien des salariés.
Charlotte Bergem, directrice des ressources humaines : Je suis directrice des ressources humaines (DRH) de Hunik Group depuis 7 ans pour la partie région, c’est-à-dire tous les territoires hors Île-de-France. Hunik Group en régions est un ensemble de 3 entreprises de services informatiques spécialisées dans le traitement de la donnée, le développement d'applications métiers sur mesure et le web design. Nous comptons une centaine de salariés, dont la plupart sont de jeunes hommes spécialistes de l’IT.
« Notre culture d'entreprise se traduit notamment par du télétravail libre et un management de proximité. »Charlotte Bergem, DRH chez Hunik Group
C.B : Le service RH est le seul service qui soit mutualisé, sachant que la majeure partie de l’activité se situe à Lille. Mais même si nous ne sommes que trois au sein de mon pôle, notre objectif est précisément d’insuffler du commun pour prendre soin de nos salariés. Et nous avons malgré tout des valeurs qui nous rassemblent : l’organisation, la typologie de projets et le télétravail, d’une part, mais aussi une très forte proximité avec les équipes et une hiérarchie horizontale. Nous sommes particulièrement proactifs sur le sujet de la qualité de vie au travail : par exemple, en ce moment, on discute de la semaine de 4 jours. Cela fonctionne bien, nous avons peu de turn-over et on sent les salariés épanouis. Et outre le fait qu’ils savent notre porte toujours ouverte, ils peuvent aussi, s’ils le souhaitent, relayer leurs demandes auprès du comité social et économique (CSE), chacune des entreprises disposant d’une entité propre.
C.B : La rétention des talents, car nous sommes sur un marché en tension, en termes de recrutement. Pour les fidéliser, on propose des améliorations dans l’organisation (typologie des projets, télétravail) mais aussi des avantages qui répondent à leurs véritables besoins, et pas seulement du baby-foot. Cette année, il y aura aussi le renouvellement des membres du CSE et je pense que cela pourrait changer la dynamique du comité pour plus de proactivité.
« Nous avons besoin d’un CSE proactif pour pousser les sujets RH. » Charlotte Bergem, DRH chez Hunik Group
C.B : Oui, de plus en plus. Les sièges vont bientôt être complètement renouvelés et je suis certaine que le nouveau comité, qui sera définitivement formé à la fin de l’année, sera de plus en plus proactif. Ils ont par exemple récemment évoqué le développement de partenariats pour l’entreprise. C’est exactement ce dont nous avons besoin : un CSE fort, pour pousser les sujets RH. De même, les réunions étaient auparavant uniquement organisées au gré des besoins, alors que là, nous aurons désormais un rendez-vous mensuel. Les sujets abordés sont généralement axés autour des acquis sociaux : augmentation du montant des tickets-restaurants, semaine de quatre jours, outils de communication, parking à vélo, primes de fin d'année, problématiques disciplinaires…
C.B : Oui bien sûr ! C’est d’ailleurs moi qui avais présenté Alan au CSE et à la direction, au départ. J’étais déjà quasi sûre de choisir Alan à ce moment-là, mais je devais également convaincre le CSE ainsi que la direction. J’avais des arguments : Alan me permettait de baisser la charge administrative RH et je savais, pour être moi-même utilisatrice, car salariée aussi, que l’expérience utilisateur était excellente. D’ailleurs, avant de présenter Alan devant le CSE, j’avais sollicité d’autres collègues pour leur présenter ce partenaire santé de manière informelle, je voulais recueillir leur point de vue collaborateur. Ils avaient été convaincus. Je savais que j’arrivais préparée lors de ma présentation.
« Le CSE est l’intermédiaire idéal, car ils sont très proches des salariés. » Charlotte Bergem, DRH chez Hunik Group
C.B : Aujourd’hui, le processus est toujours le même : les idées sont soumises par le CSE, le service RH prend le temps de les traiter et les décisions sont prises lors de réunions avec le CSE et la direction. Mais si c’était à refaire, en effet, j’aurais fait intervenir bien plus tôt le CSE lors des réunions avec Alan. Certainement dès le deuxième rendez-vous, afin que tous les membres assistent à la démonstration de l’application. Cela nous aurait permis d’avoir l’avis critique de tout le monde, d’éviter que certains collaborateurs focalisent la présentation aux employés sur le problème d’une personne en particulier, mais aussi d’anticiper d’éventuelles incompréhensions à propos d’Alan. In fine, on aurait forcément réduit le temps de décision du CSE.
C.B : Le CSE est l'intermédiaire idéal parce qu’ils sont très proches des collaborateurs. Donc quand il y a des questions des équipes, ils sont au premier rang pour les gérer. Ceci dit, le rôle du CSE est réduit dans les entreprises de moins de 50 salariés, notamment parce qu’il est difficile de convaincre les collaborateurs de s’engager et parce que le CSE ne dispose pas de budget dédié. C’est pourquoi les RH doivent vraiment communiquer sur le rôle du CSE pour impliquer les salariés au maximum. Car au final, les intégrer dans ce genre de comité, c’est aussi les valoriser dans leur place au sein de l’entreprise. Je suis assez confiante en l’avenir, car je trouve que l’engagement augmente, particulièrement chez les jeunes.
C.B : L’objectif du CSE est de garantir les droits des salariés et d’améliorer leur cadre de vie au sein de l’entreprise. Étant donné qu’avec Alan, les salariés gardaient un bon niveau de couverture et qu’ils bénéficiaient, en prime, d’une meilleure expérience utilisateur, Alan a clairement répondu à leurs besoins.
C.B : Je pense que c’est important de se faire accompagner par Alan pour communiquer auprès du CSE. Je recommande vraiment d’impliquer le CSE assez rapidement avec l’aide de votre équipe commerciale.
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