Intermarché Combronde: Alan, un outil pour doper la politique RH

Industrie
Grande distribution - Commerce

Taille
42 salariés

Dans un contexte de forte tension sur les recrutements, Sylvain Thomas, adhérent de l’Intermarché Combronde, au nord de Clermont-Ferrand, a vu dans la plateforme Alan un acquis social fort. Il nous raconte comment le choix du bon partenaire santé peut jouer sur la politique RH. 

Bonjour Sylvain ! Avant de démarrer l’entretien, pourriez-vous vous présenter ? 

Sylvain Thomas, adhérent de l’Intermarché Combronde : Je fête ma onzième année comme adhérent de l’Intermarché Combronde, une petite ville de 2200 habitants, située en plein cœur de l’Auvergne ! Aujourd’hui, nous avons une cinquantaine de collaborateurs dans l’équipe et l’activité fonctionne plutôt bien.

Quels sont vos principaux enjeux pour l’année qui arrive ?

S.T : Le service client est notre priorité. Notre président fondateur avait l’habitude de dire : “il n’y a de richesse que l’homme”. Je partage ce point de vue. Aujourd’hui, nous rencontrons des difficultés de recrutement, surtout en ce qui concerne les métiers spécialisés, comme les poissonniers ou les bouchers. Faute de trouver ces profils, nous sommes obligés de mettre des rayons en libre-service, ce qui est problématique pour la qualité du service de proximité. Par exemple, j’ai dû fermer la poissonnerie, faute de salariés, pour s’en occuper. Et au-delà de nos difficultés à recruter, nous avons aussi une problématique forte d’absentéisme.

Comment faites-vous pour attirer la jeune génération ?

S.T : Nous avons besoin de l’alternance, quel que soit le niveau de formation. Cela permet de mettre le pied à l’étrier et de bien comprendre les enjeux du métier que l’on vise, mais aussi du monde du travail en général. Et puis, c’est un moyen de savoir si le secteur que l’on vise nous plaît ou pas. 

Est-ce qu’une assurance santé comme Alan permet de répondre à l’une de ces problématiques ?

S.T : Alan, c’est un acquis social additionnel, et c’est important pour notre secteur. Il y a un vrai accompagnement de l’assuré, la plateforme médicale permet à chacun d’avoir rapidement des réponses sur sa santé. Nous présentons d’ailleurs Alan comme un atout, en entretien de recrutement. Nous expliquons que l’enregistrement est très facile, que la couverture est bonne, avec la possibilité d’être encore mieux couvert si besoin, et nous parlons évidemment de la clinique Alan, qui permet de contacter des professionnels de santé, via le “chat” ou en téléconsultation, 7 jours sur 7 et gratuitement.

Pourquoi avez-vous basculé d’un assureur traditionnel à un partenaire santé ?

S.T : La situation précédente (avec notre assurance santé) était compliquée : nous étions sollicités trop régulièrement et le suivi des dispenses et de nos obligations annuelles manquait de rigueur. À la lenteur administrative, s’ajoutait l’absence d’échanges : nous fonctionnions uniquement par mails interposés. Ce sont ces deux arguments-là qui m’ont convaincu de passer chez Alan. Avec Alan, j’ai vite perçu la valeur ajoutée pour mon équipe et la facilité d’usage, pour moi. En somme, Alan, c'est un suivi rigoureux de nos démarches administratives, donc une charge mentale en moins pour moi.

Comment s’est passée la transition chez Alan ?

S.T : Très bien ! La transition s’est faite en douceur, je me suis senti accompagné dans chaque étape et j’avais une vraie relation de proximité avec le commercial Alan. La liste des salariés a été intégrée rapidement et nous avons fait les régulations avec les retardataires, au fur et à mesure. C’était bien moins compliqué que lors de mon premier changement de mutuelle, cinq ans avant que la loi ne rende obligatoire la prise en charge partielle pour les employeurs.

Quel bilan faites-vous de ces 8 premiers mois passés chez Alan ? 

S.T : Quand il n’y a pas de bruit, c’est que tout va bien (rires) ! Non, sérieusement, mes salariés sont très satisfaits, en particulier du remboursement quasi immédiat. Je pense que c’est une facilité pour eux et que cela les rassure de bénéficier d’un service médical (la clinique Alan) rapidement. En tant qu’administrateur, aussi, c’est positif. La plateforme est claire, simple et intuitive. On enregistre très facilement les salariés, on a une lecture directe de la situation de chacun et on a des réponses rapides à nos questions auprès de nos référents. C’est beaucoup moins fastidieux que mon ancien système, avec lequel je devais envoyer des pièces justificatives par courrier, un process long et peu agile.

Est-ce que cette simplicité d’utilisation vous permet d’utiliser votre temps pour d’autres tâches ?

S.T : Oui, bien sûr. Le temps que vous ne perdez pas à faire cela vous libère pour vous atteler à d’autres choses. Mais c’est surtout une manière pour moi d’être serein, notamment face aux contrôles de l’URSSAF, car je sais qu’avec Alan, la gestion des dispenses est bien orchestrée. Je n’ai pas besoin d’aller vérifier et re-vérifier. 

Est-ce que vous recommanderiez Alan à un confrère d’Intermarché ? 

S.T : Oui, d’une part parce que la transition est facile et entièrement gérée par vos soins, mais aussi parce que cela représente une véritable valeur ajoutée pour les salariés.